Ce same­di 5 avril rendez-vous à 7h30 au par­king… un peu tôt pour cer­taines mais on a de la route ! Malgré une météo incer­taine, nous voi­là en route pour Champfromier, et comme le dit Thierry « il ne faut jamais croire la météo » : encore une fois il a raison !

Équipe majo­ri­tai­re­ment fémi­nine cette fois : Véronique, Estelle, Thierry et Aurélie en route dans la camion­nette sur un fond de rock. On rejoint au café crois­sant Caro et Jacques venus pour la jour­née ; et enfin au pied de la falaise on retrouve nos 2 suisses, Stéphanie et Martin (qui eux dor­maient encore à 7h30 de ce même jour, ça doit être pour ça qu’ils sont forts !).

Champfromier, mais c’est où ? C’est dans l’Ain, val­lée de la Valserine, entre Nantua et Bellegarde.

On arrive dans un joli pré, pas l’ombre d’une falaise ! Eh oui il faut des­cendre : dans la val­lée de la Valserine, la falaise on la trouve en bas . Le pre­mier sec­teur, les « sur­plombs para­pluies » nous semble un peu trop déver­sant pour com­men­cer à nous échauf­fer, on avance un peu pour trou­ver de belles lon­gueurs dans le sec­teur des couennes, qui nous semblent plus accueillantes. On se lance, par­fois encou­ra­gés par quelques guir­landes de dégaines ! Des voies cotées en 5, par­fois en 6a, on fait connais­sance avec la roche locale !

Après cette pre­mière jour­née de grimpe ; visite d’une petite bras­se­rie dont on tai­ra le nom… mais on repart avec quelques car­tons . Puis soi­rée au top du confort en chambre d’hôte à Giron, après une ren­contre avec un cha­mois sur la route.

Bien requin­qués ; le dimanche on remet ça, on explore le sec­teur de l’en­vol du fau­con : on arri­ve­ra en haut de Swing gomme, de Papi russe, mais seul Thierry tâte­ra les prises de « Gypaète le feu » ! Et dans le sec­teur « faut se gaf­fer au départ, mais après ça va tout seul » (à dire avec l’ac­cent suisse…).

Avant de repar­tir, verre de l’a­mi­tié sor­ti du sac, au soleil dans un pré ! Et ren­contre avec un mon­sieur plus très jeune, qui a ouvert la pre­mière voie… content de voir le suc­cès de la falaise !

Alors, c’est sûr, à Champfromier, on y reviendra !