Coupe régionale U12/U14 à Andrézieu-Bouthéon : record régional U14F battu !

Le same­di 22 mars 2025, nos jeunes grim­peurs se sont réunis à Andrézieu-Bouthéon pour par­ti­ci­per à l’é­tape de la Coupe Régionale U12/U14. La jour­née, consa­crée à deux épreuves – la vitesse et la dif­fi­cul­té – a per­mis de mettre en valeur le tra­vail et l’en­ga­ge­ment de chacun.

Des moments marquants et une performance remarquable

Parmi les per­for­mances notables, Violette Gautreau s’est dis­tin­guée en éta­blis­sant un nou­veau record régio­nal en vitesse avec un temps de 4 s 91 lors de la finale de l’épreuve.

Revivez le run de finale entre Violette et Salomé, avec le nou­veau temps de réfé­rence en région pour les U14F :

Les résultats du club en quelques chiffres

Catégorie U12 Femme (37 participantes) :

  • Jeanne HAZET : 20 points (13e en dif­fi­cul­té, 7e en vitesse) – clas­se­ment com­bi­né 10ème.
  • Coline LANÇON : 47 points (29e en dif­fi­cul­té, 18e en vitesse) – clas­se­ment com­bi­né 25ème.

Catégorie U12 Homme (33 participants) :

  • Raphael PEROTTO : 38 points (26e en dif­fi­cul­té, 12e en vitesse) – clas­se­ment com­bi­né 19ème.

Catégorie U14 Femme (56 participantes) :

  • Violette GAUTREAU : 14 points (13e en dif­fi­cul­té, 1 en vitesse) – clas­se­ment com­bi­né 6ème.
  • Albane KARGUL : 40 points (24ème en dif­fi­cul­té, 16ème en vitesse) – clas­se­ment com­bi­né 20ème 

Merci aux bénévoles pour leur implication sur cette compétition

Un grand mer­ci à nos deux juges (Estelle, et … Estelle) sur la com­pé­ti­tion, sans qui nos jeunes ne pour­raient concou­rir ; et à Nicolas pour le coa­ching tout au long de la journée

« Des ‘Caresses du ciel’ à ‘Génération culbute’ : escalade en Bugey le 22 février

Sur le calen­drier des sor­ties 12 grimpeurs(ses) ont écrit leur nom sur la feuille à l’entrée de la
Halle pour la jour­née du 22 février 2025.
À 8 heures pré­cises, Andréas ins­talle la troupe dans le splen­dide mini­bus de la Région. Thierry se pose en copi­lote ges­tion­naire du badge de télé­péage dont il semble décou­vrir le fonc­tion­ne­ment. Le mini­bus met un point d’honneur à ne pas se lais­ser dis­tan­cer par l’autre
voi­ture pilo­tée avec brio par Stacy. Le convoi prend le che­min du Bugey par la val­lée de l’Albarine en direc­tion de la falaise d’Essieu-Contrevoz.

Après avoir mar­qué notre ter­ri­toire, nous arri­vons très vite au pieds des voies. Thierry
pré­vient : « modé­rez vos ambi­tions au départ, en exté­rieur, vous n’êtes pas chez vous
comme en salle, lais­sez vous le temps de la décou­verte ». Les voies en 5 sont dis­sé­mi­nées
au milieu de sec­teurs plus difficiles.

Les cor­dées se forment natu­rel­le­ment, une cor­dée de fille et cinq cor­dées de gar­çons, les
équi­libres de poids sont res­pec­tés. On monte les cordes sous le contrôle de Thierry et d’Andréas, cer­tains révisent les manie­ments des cordes quand on arrive au relai.

On com­mence par des 5C qui nous mettent rapi­de­ment dans le bain. Génération culbute
donne du fil à retordre à ceux qui s’y colle même en mou­li­nette. D’autres 5c ou 6a res­tent
plus acces­sibles dans le cadre d’une cota­tion « peu com­mer­ciales »
Thierry est ten­té par les caresses du ciel 7a+, il est dans le dur mais il est vrai qu’il pose
des tuiles toute la jour­née, mal­gré son éner­gie débor­dante il n’en reste pas moins humain.
Stacy enchaîne une 6c avec sou­plesse, sens du rythme et du pla­ce­ment. Tout semble facile,
Clarisse s’y frotte et nous montre que cette voie N’Gorongoro est bien un 6c.


Vers 16h30, quelques gouttes de pluie nous indiquent que la fenêtre de beau temps qui a
per­mis notre esca­pade se ter­mine. On aura tous bien pro­fi­té de cette jour­née quel que soit
notre niveau.

Au retour sous la pluie, on fait ouvrir un bar-restaurant à Saint-Rambert en Bugey pour boire
le verre de l’amitié, 2 cocas light et 10 pres­sions ambrées n’étanchent pas notre soif de
goû­ter à nou­veau aux sor­ties orga­ni­sées par ce club merveilleux.

PORTRAIT // Caroline Perret, une passion au service des sorties en falaise.

Depuis son arri­vée au club en 2004, Caroline Perret a joué un rôle cen­tral dans l’organisation et la dyna­mi­sa­tion des acti­vi­tés en exté­rieur. Ancienne pré­si­dente pen­dant 10 ans, elle conti­nue aujourd’hui d’accompagner le club en tant que réfé­rente de la com­mis­sion sor­ties.

Rencontre avec une pas­sion­née pour qui rien ne vaut l’escalade en milieu naturel. 

Marion Bernard : Caroline, peux-tu nous expli­quer en quoi consiste ton rôle de réfé­rente com­mis­sion sor­ties ?

Caroline Perret : Mon rôle est d’organiser et de pla­ni­fier les sor­ties du club tout au long de l’année. L’objectif est de per­mettre à chaque membre, quel que soit son niveau – débu­tant ou confir­mé, adulte ou enfant – de décou­vrir ou redé­cou­vrir les joies de l’escalade en falaise. Je tra­vaille sur un calen­drier annuel avec une sor­tie par mois, que ce soit en jour­née ou sur un week-end, et tou­jours avec nos SNE (Animateurs en Structures Naturelles d’Escalade), qui encadrent les sorties.

Ces sor­ties semblent avoir une impor­tance par­ti­cu­lière pour toi. Pourquoi ?

Rien ne vaut une sor­tie en falaise. Ce qui se passe humai­ne­ment en milieu natu­rel, sur une paroi, n’a pas son égal. C’est dans ces moments-là que la magie opère : les grim­peurs se découvrent sous un autre jour, les liens se créent, et l’on revient tou­jours avec des sou­ve­nirs uniques. L’escalade en falaise, c’est une expé­rience à la fois spor­tive et humaine, qui dépasse lar­ge­ment ce qu’on peut vivre en salle.

Comment as-tu décou­vert l’escalade ?

Par hasard, vers mes 20 ans. Ce sport s’est rapi­de­ment impo­sé comme une évi­dence pour moi. La liber­té qu’on res­sent en falaise, l’effort phy­sique com­bi­né à la concen­tra­tion men­tale, et ce contact avec la nature : tout cela m’a tout de suite conquise.

Quels sont tes meilleurs sou­ve­nirs en falaise avec le club ?

Il y en a tel­le­ment ! Mais les sor­ties avec les enfants me marquent par­ti­cu­liè­re­ment. Les voir pro­gres­ser, s’émerveiller face à la paroi, et dépas­ser leurs peurs, c’est tou­jours un moment fort. Chaque année, nous orga­ni­sons au moins une grande sor­tie avec les ani­ma­teurs pour les jeunes, et c’est à chaque fois une aven­ture inoubliable.

As-tu des sources d’inspiration dans le monde de l’escalade ?

Certains livres ou man­gas sur l’alpinisme et l’escalade m’ont pro­fon­dé­ment mar­quée. Le Sommet des Dieux ou Vertical en man­ga, ou encore La Mort Suspendue de Joe Simpson, pour ne citer qu’eux. Ils rap­pellent à quel point l’escalade est un sport exi­geant, mais aus­si pro­fon­dé­ment humain.

Un der­nier mot ?

Je suis fière de faire par­tie de ce club depuis 20 ans et de contri­buer à trans­mettre ma pas­sion pour les sor­ties en falaise. J’espère conti­nuer à ins­pi­rer de nom­breux membres à décou­vrir ce que l’escalade a de meilleur à offrir, loin des murs, là où la roche nous connecte à l’essentiel.

Merci infi­ni­ment Caroline ✌🏻✌🏻✌🏻 A très vite ! 

Nouvelles voies à la Halle et disponibilité sur Oblyk

Après une semaine et demi de tra­vail d’ou­ver­ture, la halle des sports a réou­vert à la grimpe le 12 mars avec des nou­velles voies toutes fraîches.

Un grand mer­ci aux ouvreurs et ouvreuses qui ont tra­vaillé d’arrache-pied pour nous pré­pa­rer un nou­veau ter­rain de jeu.

À l’is­su de cette ouver­ture, nous avons sai­si toutes les voies sur l’ap­pli­ca­tion Oblyk sur laquelle figu­raient déjà les blocs. Désormais vous pou­vez y retrou­ver les 61 nou­velles voies de la Halle des sports, et les 54 voies de la salle Marie Marvingt !

Bonne grimpe à tous et à toutes !

AL Anse Escalade fete sa 500è adhérente

Portrait // Lisa la 500è licenciée du club AL Anse

Arrivée en cours d’année au club, Lisa, 24 ans, étu­diante en méde­cine et pas­sion­née d’escalade, a eu la sur­prise d’être mise à l’honneur comme 500ᵉ adhé­rente. Avec beau­coup de géné­ro­si­té, elle a accep­té de nous par­ler de son par­cours et de son expé­rience au sein du club. Ce por­trait, comme les autres de cette série, est une belle oppor­tu­ni­té de mieux se connaître entre membres, au-delà des cré­neaux ou des pra­tiques de chacun. 

Marion Bernard : Comment es-tu arri­vée au club d’es­ca­lade d’Anse ?
Lisa
 : Je cher­chais un club avec des horaires adap­tés à mon emploi du temps, et ici, il y a pas mal de cré­neaux en soi­rée, ce qui me convient par­fai­te­ment. Et la coti­sa­tion était inté­res­sante, moi qui ne reste que 6 mois pour mes études de méde­cine dans le secteur ! 

Qu’est-ce qui te plaît le plus ici ?
La hau­teur des murs de la Halle des Sports est incroyable ! La salle est grande, avec des murs allant jus­qu’à 16 mètres de haut, c’est une pre­mière pour moi. Avant de venir ici, je n’a­vais jamais grim­pé sur des murs aus­si hauts. Les pre­mières séances ont été dures pour les bras et m’ont pous­sé à tra­vailler l’endurance !

Ce que j’ap­pré­cie aus­si, c’est la diver­si­té des voies. Il y en a pour tous les niveaux et tous les styles. Personnellement, je suis plus atti­rée par la dif­fi­cul­té que par le bloc.
J’essaie de venir deux fois par semaine et je cherche un binôme avec qui grim­per régu­liè­re­ment. C’est aus­si une belle occa­sion de ren­con­trer de nou­velles personnes. 

Depuis com­bien de temps pratiques-tu l’es­ca­lade ?
J’ai com­men­cé il y a neuf ans au lycée en Cote d’Or (ma région d’o­ri­gine), grâce à l’AS esca­lade. À l’époque, c’était sur­tout pour évi­ter de me retrou­ver seule car tous mes copains étaient grim­peurs ! (Rires)

Qu’est-ce qui te plaît par­ti­cu­liè­re­ment dans ce sport ?
J’aime le fait qu’on puisse prendre son temps. Contrairement aux sports de bal­lon, l’escalade laisse le temps de réflé­chir aux mou­ve­ments, de pla­ni­fier ses actions. Il y a aus­si une belle dimen­sion de par­tage : on échange des conseils entre grim­peurs, on s’encourage. On n’est jamais vrai­ment seul, et ça, c’est un vrai plus pour moi.

Quand tu n’es pas en train de grim­per, que fais-tu ?
À côté de l’escalade, j’adore la lec­ture, sur­tout la science-fiction, les romans his­to­riques ou poli­ciers. J’aime aus­si les acti­vi­tés manuelles comme le cro­chet, la cou­ture et la bro­de­rie, sans oublier la cui­sine asia­tique, un de mes petits plaisirs.

Et côté sor­ties, tu as des pro­jets ?
Oui, j’ai­me­rais par­ti­ci­per à une sor­tie avant fin avril si mon plan­ning le per­met. J’ai hâte !

Un der­nier mot pour les autres grim­peurs ?
N’hésitez pas à venir échan­ger avec moi, sur­tout si vous cher­chez un binôme. L’escalade, c’est encore mieux quand on la partage ! 

Merci Lisa et à très bientôt ! 

De la falaise et encore de la falaise : sorties à venir

L’hiver s’é­loigne dou­ce­ment, et nous sen­tons l’ap­pel des rochers ! Pas vous ?

Plusieurs pro­po­si­tions : 

  • dimanche 23 mars : sor­tie jour­née dans le Bugey ; réfé­rent Eric (lieu et heure de départ à venir)
  • same­di 5 et dimanche 6 avril : Champfromier ; réfé­rents Thierry et Caro ; sur­prise le same­di soir !!!
  • same­di 26 avril au dimanche 4 mai : Briançon ; réfé­rents Eric et Thierry

Pour cha­cune de ces sorties : 

  • pas­se­port orange + sécu­ri­té vert
  • maté­riel per­so + club si besoin : bau­drier, sys­tème d’as­su­rage, longe, casque, chaussons
  • affiches au club avec plus de détails 
  • n’hé­si­tez pas à venir nous voir pour toutes ques­tions complémentaires
  • bonne humeur et rigo­lade assu­rées ! Un peu de perf aussi !…

On vous attend !!!

PORTRAIT // Thomas le Rolland.

Le plus dur, c’est de se dépasser sans se perdre…

Entre quête de per­for­mance et goût du par­tage, nous avons ren­con­tré le grim­peur du club AL ANSE qui nous raconte son par­cours, ses défis et sa vision du sport. 

© Crédits pho­to : Franlero 

Marion Bernard : 13 ans que tu grimpes, quel a été le déclic ?!

Thomas le Rolland : J’ai d’abord essayé plu­sieurs sports : judo, rug­by, et j’au­rais même ten­té le football ! 

La révé­la­tion s’est pro­duite quand je grim­pais chez moi, dans le cou­loir, entre deux murs. 

C’est ain­si que ma pas­sion pour l’escalade a débu­té et que mes parents m’ont ins­crit à AL Anse. J’ai com­men­cé avec mon ami Léo Cachat et cette ami­tié a ren­for­cé mon atta­che­ment au sport. J’ai ensuite com­men­cé la com­pé­ti­tion à 8 ans et j’ai réa­li­sé mes pre­mières com­pé­ti­tions natio­nales en caté­go­rie U16 (minimes).

Comment es-tu pas­sé de com­pé­ti­teur à coach ?

À 14 ans, j’ai com­men­cé à aider le coach des jeunes com­pé­ti­teurs. J’ai ado­ré le par­tage d’expérience et de les voir évo­luer cha­cun dans leur pra­tique. Depuis le début de cette sai­son, dans le cadre de mon stage STAPS, je suis désor­mais coach en com­pé­ti­tion per­for­mance avec cer­tains jeunes que je retrouve et on expé­ri­mente de nou­veaux entraînements. 

Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ce rôle d’entraîneur ?

Savoir moti­ver les ath­lètes et les gui­der dans leur quête d’objectifs, c’est ce qui fait la dif­fé­rence. J’ai appris à opti­mi­ser les entraî­ne­ments en com­pre­nant le fonc­tion­ne­ment de cha­cun. Une phrase, et une seule peut suf­fire pour reboos­ter un athlète ! 

Selon toi, qu’est-ce qui fait un bon coach ?

Un coach doit gérer la pres­sion, aider les ath­lètes à mettre le juge­ment des autres de côté, et déve­lop­per leur estime de soi. L’objectif est de créer une ému­la­tion plu­tôt qu’une com­pé­ti­tion toxique. Être rigou­reux, mais jamais strict au point d’étouffer la passion. 

La réus­site revient tou­jours au grimpeur. 

Si tu avais un conseil à don­ner pour mieux gérer l’aspect men­tal en com­pé­ti­tion, lequel serait-il ?

Il faut tou­jours réflé­chir avant d’agir, et s’assurer d’être meilleur que soi avant de cher­cher à être meilleur que les autres. Je mesure cha­cune de mes paroles : elles peuvent déclen­cher ou frei­ner une performance.

Tu mènes de front des études en STAPS et une car­rière de spor­tif de haut niveau. Comment trouves-tu ton équilibre ?

J’ai choi­si STAPS pour conci­lier études et entraî­ne­ment. Grâce à mon sta­tut d’athlète de haut niveau, j’ai un par­cours amé­na­gé mais je ne me suis jamais auto­ri­sé à man­quer un cours pour évi­ter d’accumuler du tra­vail le soir. Mais la charge ner­veuse est intense, sur­tout en période de compétitions.

Si tu devais rete­nir un moment mar­quant dans ta car­rière, lequel serait-il ?

Ce n’est pas un podium, mais une sen­sa­tion. Lors d’une Coupe de France de dif­fi­cul­té à Marseille, j’ai vécu un moment de liber­té totale dans la voie où j’en­ten­dais chaque détail autour de moi avec une vision extra lucide de ce que j’ac­com­plis­sais, je ne me suis jamais sen­ti aus­si léger ! Ces ins­tants que cer­tains spé­cia­listes appellent le flow effacent tous les doutes et les dif­fi­cul­tés des entraînements.

Que dirais-tu à un jeune qui débute et veut pro­gres­ser en escalade ?

Quels sont les grands défis que tu te fixes pour l’avenir ?

Mon rêve est d’in­té­grer l’équipe de France senior et réa­li­ser mon rêve d’enfance : par­ti­ci­per aux Jeux Olympiques ! 

Merci Thomas, et force à toi dans cette voie ! A bientôt sur les murs de Anse !

À vos agendas : Fête de l’escalade 12 et 13 avril 2025

Vous l’at­ten­diez et elle arrive : la fête de l’es­ca­lade 2025 !

Nous sou­hai­tons repar­tir sur un wee­kend de fête qui se tien­dra les 12 et 13 avril prochain.

Samedi 12 avril : journée découverte

Le same­di aura lieu une jour­née décou­verte pour tous vos proches ! C’est le moment pour les petit·e·s et les grand·e·s de venir décou­vrir notre sport.

La jour­née se dérou­le­ra entre 9h30 et 12h00 puis de 13h30 à 17h00.

Comme d’ha­bi­tude nous pour­rons faire décou­vrir les 3 dis­ci­plines : vitesse , bloc et voies.

L’après-midi, Andreas et Jean-Philippe ani­me­ront un ate­lier « mon pre­mier cours d’es­ca­lade » avec des effec­tifs réduits (4−6 per­sonnes) sur une durée de 1h. Il fau­dra s’inscrire sur place.

Pour assu­rer la sécu­ri­té de tous ces novices, nous aurons besoin de béné­voles ! Pour cela, n’hé­si­tez pas à vous ins­crire sur le tableau par­ta­gé qui vous sera envoyé dans les pro­chains jours. En atten­dant, vous pou­vez tou­jours blo­quer la date😉

Plus nous aurons de per­sonnes pour encadrer/assurer(niveau pas­se­port Jaune mini pour l’as­su­rage), plus nous pour­rons ouvrir des cou­loirs et des blocs.

D’avance MERCI !!

Dimanche 13 avril : grimpe festive pour les adhérent·e·s

Le dimanche, la fête sera réser­vée aux membres du club uni­que­ment. Nous ne pour­rons pas faire de pas­se­ports décou­verte durant cette journée.

Les enfants doivent être accom­pa­gné de leurs parents, avec un pas­se­port orange comme sur les cré­neaux famille.

En effet, nous sou­hai­tons faire de cet évè­ne­ment le moment où tous les groupes peuvent grim­per ensemble et pro­fi­ter d’une jour­née pour laquelle nous vous pré­pa­rons quelques surprises.

Comme l’é­vè­ne­ment se veut fes­tif, les dégui­se­ments sont les bien­ve­nus, n’hé­si­tez pas à venir en costume!!

L’idée est de grim­per entre 9h30 et 12h30 et dans l’après-midi jus­qu’à 16h30 environ.

Pourquoi jus­qu’à 12h30 ? Parce que nous offri­rons le pot du grim­peur qui sera sui­vi du pique-nique par­ta­gé où cha­cun apporte un plat salé ou sucré afin de pas­ser un moment convi­vial ensemble.

A ce stade, nous pou­vons affir­mer avec cer­ti­tude que vous allez grim­per ! Comment ? Mystère… 😇

On vous attend à la fête pour le découvrir!!!

Inscriptions pour la semaine de grimpe du 26 avril au 4 mai 2025

Hello les grim­peurs et les grimpeuses,

Nous orga­ni­sons notre tra­di­tion­nelle semaine de grimpe cette année dans le brian­çon­nais du 26 avril au 4 mai.

Au menu, de belles couennes, des grandes voies bien équi­pées et sur­tout de grosses tranches de rigolades. 

Ouvert aux adultes auto­nomes déten­teurs du pas­se­port vert. Pour les pas­se­ports orange, pas­sez nous voir au pied du mur pour regar­der les moda­li­tés pour vous joindre à nous.

Possibilité de venir grim­per quelques jours ou toute la semaine.

Pour les moti­vés, mer­ci de reve­nir vers nous avant le 16 mars via le son­dage ci des­sous pour nous lais­ser ensuite le temps de trou­ver un gite adapté.

https://​doo​dle​.com/​g​r​o​u​p​-​p​o​l​l​/​p​a​r​t​i​c​i​p​a​t​e​/​aAW3QEPd

Coupe de France et open national de vitesse de Valence

Le 15 et 16 février 2025, le club Minéral Spirit orga­ni­sait une coupe de France de vitesse pour les caté­go­ries U16 à Sénior ; et un open natio­nal pour les U12 et U14.

La vitesse tient une place par­ti­cu­lière à Anse, grâce à nos deux groupes de jeunes qui s’en­traînent spé­ci­fi­que­ment sur cette dis­ci­pline : cette com­pé­ti­tion était pour eux l’oc­ca­sion de se mesu­rer aux meilleur·e·s français·e·s.

Résultats de la coupe de France U16 à séniors

  • U16 femmes
    • 🥉 Augustine Griot-Sterin 3ème (Vertige)
  • U16 hommes
    • Antoine Pardon 8ème (Vertige)
    • Eliott Verchère 10ème (Vertige)
    • Yoan Robert 11ème (record per­son­nel battu)
    • Charly Florent 13ème
  • U18 femmes
    • Liséa Termelet 7ème
  • U18 hommes
    • 🥇Marius Palfroy 1er
    • Adam Callet 15ème (record per­son­nel battu)
  • U20 femmes
    • 🥇Éloane Belloir 1ère
  • U20 hommes
    • 🥉 Ethan Kapota 3ème (Vertige)
    • Julien Maillet 14ème
  • Séniors femmes
    • Éloane Belloir (sur­clas­sée) 7ème
  • Séniors hommes
    • Guillaume Moro 1er
    • Marius Palfroy (sur­clas­sé) 15ème
    • Ethan Kapota (sur­clas­sé) 16ème

La coupe de France a été l’oc­ca­sion pour Guillaume Moro, le coach de l’é­quipe vitesse, de démon­trer tout son talent avec une pre­mière place assor­tie d’un nou­veau record de France avec 5,112s. Le pré­cé­dent record était déte­nu par Bassa Mawem avec 5,16s.

Résultats de l’open national U12-U14

  • U12 femmes
    • Jeanne Hazet 4ème (record per­son­nel battu)
    • Coline Lançon 7ème
  • U12 hommes
    • Léo Fernandez 7ème (record per­son­nel battu)
  • U14 femmes
    • Violette Gautreau 10ème (record per­son­nel battu)